| W. A. Mozart |
| J. S. Bach |
| Haendel |
| Antonio Vivaldi |
| The Chieftains (trad. irlandaise) |
| Ryan O'Neal (Barry Lyndon) |
| Marisa Berenson (Lady Lyndon) |
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Patrick Magee (Le chevalier) |
| Hardy Kruger (Le capitaine Potzdorf) |
| Barry Lyndon |
| D'après le roman de W. M. Thackeray | |
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| Ecrit pour le cinéma par Stanley Kubrick | |||||
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| Musique adaptée et dirigée par Léonard Rosenman | |||||
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| Acteurs | |||||
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Barry Lyndon, c'est la grande classe. Rien que le titre des deux parties qui composent cette oeuvre majeure :
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"Par quels moyens Redmond Barry acquit les manières et le titre de Barry Lyndon."
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"Contenant une relation des malheurs et des désastres qui frappèrent Barry Lyndon."
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Kubrick y a poussé le souci du détail réaliste jusqu'a utiliser le même tissu qu'à l'époque (XVIIIe) pour tous les costumes.
L'ambience a un petit côté Scorcesien. Le film retraçant la vie du personnage concentre des dizaines d'années en quelques heures.
Le sujet, ça pourrait être la perte des illusions. D'un jeune garçon pauvre, tendre et loyal dans un monde corrompu. Qu'on voit vite vieillir, voir pourrir.
Barry Lyndon, c'est le second principe de la thermodynamique.
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